Buhler
Mark et Catherine
ÉGLISE : Campbell River Baptist, Campbell River, C.-B.
Repères chronologiques :
∙ Serviteurs auprès de l’AIM, à la Rift Valley Academy (RVA) de 1981 à 1983.
∙ Ils ont servi auprès de la RVA de 1990 à 2003.
∙ Nommés missionnaires à plein temps auprès du Fellowship à l’étranger en 2005.
L’objectif principal de Mark est de concevoir, d’élaborer et de mettre en œuvre un plan de ministère étendu pour aider la Faith Baptist Church à Vancouver en Colombie-Britannique et d’autres Églises de la région du Pacifique du Fellowship. Il effectuera la formation et favorisera le rayonnement des dirigeants en vue d’un ministère multiculturel auprès des communautés à leurs portes.
Mark consacre la grande partie de son temps au mentorat et œuvre auprès de dix protégés. Il témoigne : « Ces interactions deviennent parfois des séances de direction en groupes où nous étudions un éventail de sujets ; la plupart du temps, elles ont lieu en rencontres individuelles dans des cafés et les foyers de nouveaux arrivants canadiens. J’ai eu le privilège de travailler avec des jeunes hommes d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Afrique. Ces immigrants avec lesquels les protégés ont interagi et tissé des liens provenaient en grande partie d’Irak, du Kenya, des Philippines, d’Iran, d’Inde et de Fidji. »
Repères chronologiques :
∙ Serviteurs auprès de l’AIM, à la Rift Valley Academy (RVA) de 1981 à 1983.
∙ Ils ont servi auprès de la RVA de 1990 à 2003.
∙ Nommés missionnaires à plein temps auprès du Fellowship à l’étranger en 2005.
L’objectif principal de Mark est de concevoir, d’élaborer et de mettre en œuvre un plan de ministère étendu pour aider la Faith Baptist Church à Vancouver en Colombie-Britannique et d’autres Églises de la région du Pacifique du Fellowship. Il effectuera la formation et favorisera le rayonnement des dirigeants en vue d’un ministère multiculturel auprès des communautés à leurs portes.
Mark consacre la grande partie de son temps au mentorat et œuvre auprès de dix protégés. Il témoigne : « Ces interactions deviennent parfois des séances de direction en groupes où nous étudions un éventail de sujets ; la plupart du temps, elles ont lieu en rencontres individuelles dans des cafés et les foyers de nouveaux arrivants canadiens. J’ai eu le privilège de travailler avec des jeunes hommes d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Afrique. Ces immigrants avec lesquels les protégés ont interagi et tissé des liens provenaient en grande partie d’Irak, du Kenya, des Philippines, d’Iran, d’Inde et de Fidji. »