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			L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint [pour guérir ceux qui ont le cœur brisé]; pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres; il m’a envoyé pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour proclamer une année de grâce du Seigneur.
Luc 4.18-19 (Colombe)
Après la mort du père de Lara*, homme d’entretien dans un hôpital, la mère de Lara* a repris cet emploi pour subvenir aux besoins de sa famille. Lara veillait sur le foyer familial, pendant les absences prolongées de sa mère. Elle gardait aussi les enfants d’une voisine. Celle-ci, a rapidement fait de Lara, 15 ans, vulnérable, une victime de la traite sexuelle qu’elle organisait. Lara croyait qu’il s’agissait du seul moyen d’aider sa mère.
Lara entretenait peu d’espoir d’être secourue.
La liberté cependant allait survenir.
 
Cette exploitation a duré six longs mois. Puis, des dénonciations décisives faites aux autorités ont permis de secourir Lara. Placée en postcure, sa vie a été transformée.
Qu’est-ce que la liberté?
Pour les personnes qui proclament Jésus comme leur Sauveur et Seigneur, la réponse demeure simple. Seules la foi en Christ et la confiance en sa mort substitutive à notre place conduisent à la liberté suprême. Romains 8.1-4 (Colombe)
D’un point de vue humain, les esclaves modernes définissent simplement la « liberté » comme tout ce dont ils sont dépouillés. Leur travail forcé, dans d’affreuses conditions, profite à quelqu’un d’autre. La plupart sont piégés par des promesses vides et contraints à l’asservissement. Ils acceptent, parce qu’ils sont pauvres et sans autre choix. Au Bangladesh, des femmes et des enfants en grand nombre vivent la version la plus sinistre et cauchemardesque de l’esclavage : celle de la traite sexuelle.
AIDE œuvre de concert avec l’Église locale du Bangladesh ainsi qu’avec les experts de l’IJM, l’International Mission Justice, pour contrer l’esclavage. Ils veillent à l’établissement d’un nouveau programme de sauvetage de filles comme Lara de la traite sexuelle.
L’appel à l’AIDE particulier Liberté au Bangladesh aspire à contribuer à l’établissement de ce nouveau programme et à concrétiser 50 opérations de sauvetage. Chacune d’entre elles coûte 10 000 $ et comprend notamment :
- la formation des premiers répondants locaux pour le repérage et les enquêtes;
- l’apport de moyens pour les opérations de sauvetage;
- le repérage, le recrutement et la formation d’avocats, de travailleurs sociaux locaux et d’autres professionnels qui veilleront à la postcure des victimes et aux poursuites des exploiteurs.
Dans cette démarche, AIDE intègre l’Église locale dans chacun des aspects de ce programme. Du sauvetage des victimes à leur restauration.
D’autres programmes de l’IJM semblables ont déjà produit d’importantes retombées en Asie du Sud. Un pays avoisinant a connu une réduction de 80 % de la traite des personnes dans deux de ses villes d’importance. Le sauvetage des victimes des ténèbres est pris en charge par l’Église locale et des vies sont transformées.
Vous joindrez-vous à nous pour procurer la liberté aux personnes captives du Bangladesh?
Comment pouvez-vous y contribuer?
Donnez : versez un don qui contribuera au sauvetage de femmes et d’enfants de l’esclavage au Bangladesh.
Priez : téléchargez le guide de prière Liberté au Bangladesh. Priez pour l’Église locale et la mise sur pied de ce nouveau programme au Bangladesh.
Apprenez-en plus sur les autres moyens par lesquels votre Église peut participer à l’appel à l’AIDE Liberté au Bangladesh.
Données sur ce pays : au Bangladesh
- Population: 174,9 millions en 2025, d’après le Joshua Project,
- Personnes vivant dans la pauvreté : plus de 32 millions de personnes, soit 19 % d’après le Dhaka Tribune publié en anglais seulement en janvier 2025;
- Personnes vivant sous l’esclavage : 1,2 million d’après le Global Slavery Index publié en anglais seulement en2023;
- jusqu’à 50 % des victimes de la traite sexuelle sont des enfants;
- Le lancement du tout premier appel à l’AIDE d’urgence au Bangladesh faisait l’objet des secours aux victimes des inondations dans ce pays dans les années 70.
Pour assurer la protection des personnes survivantes, secourues, là où cela convient, nous utilisons des pseudonymes et des photos qui ne montrent pas les victimes. Nous avons obtenu un consentement pour chacune des images.
