Ensemble pour la liberté
Documentation :
- Diapositive PowerPoint
- Feuille récapitulative du projet
- Encart pour votre bulletin
- Affiche
- Vidéo
- Trousse pour réseaux sociaux
Le pauvre n’a pas d’argent ni de biens qui puissent être pillés, si bien que voler la personne elle-même demeure ce qui est le plus rentable pour lui. [Citation librement traduite de] Gary Haugen, chef de la direction de l’International Justice Mission
À quoi pensez-vous lorsque vous entendez le mot « esclavage »? Bien souvent, l’image d’une plantation du sud des États-Unis ou d’une île des Caraïbes nous vient d’abord à l’esprit. Elle n’est pas inexacte et fait assurément partie de l’histoire de l’esclavage. Toutefois, cette image est loin de correspondre à la réalité d’aujourd’hui. L’Empire britannique a aboli la traite des esclaves en 1807. Pourtant, l’esclavage existe toujours. Quelque peu différent de celui de 1807, il demeure souvent caché aux yeux du public. L’esclavage, surtout par l’exploitation sexuelle, demeure cependant tout aussi présent de nos jours. À vrai dire, la technologie actuelle rend l’exploitation sexuelle encore plus accessible, tout autant que l’achat de meubles usagés.
L’esclavage moderne porte plusieurs noms et ses variantes existent dans diverses régions du monde. Par exemple, aux Philippines, les enfants sont vendus ou leurrés pour être exploités sexuellement en ligne. Ces victimes sont contraintes de participer à la production de pornographie, vendue au Canada, aux États-Unis et en Europe. Au Canada, des femmes et des enfants vulnérables sont ainsi captifs et forcés de vendre leur corps. Que ce soit à l’intérieur des frontières canadiennes ou à l’autre bout du monde, comme aux Philippines, ces victimes sont séparées de leur communauté et des systèmes de soutien ce qui les empêche d’être secourues. Cette situation permet aux propriétaires de ces esclaves de gagner de l’argent à partir de la souffrance de leurs victimes, et ce, le plus longtemps possible.
Jésus a dit : L’espoir du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint […] pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés […]. Luc 4.18 (Colombe)
Tout comme Jésus est venu pour nous libérer du péché qui nous enchaîne, nous sommes appelés à apporter la justice aux captifs et à les libérer. L’IJM et BridgeNorth accomplissent déjà cette tâche. Ils ont cependant besoin de votre aide. Par l’appel à l’AIDE Ensemble pour la liberté, nous vous demandons de participer de quatre manières, pour permettre aux personnes prisonnières de cette actuelle traite des esclaves aux Philippines et au Canada de recouvrer la liberté.
Apprenez : (Documentation suivante offerte en anglais seulement)
- Organisez un événement comme le dimanche de la liberté avec l’IJM à votre Église
- Invitez une conferenciere de BridgeNorth à s’entretenir avec les membres de votre communauté d’Église.
- Servez-vous de la documentation de BridgeNorth sur les questions de traite sexuelle au Canada
- Servez-vous de la documentation de l’IJM sur les problèmes de l’esclavage dans le monde
Priez : intercédez pour que Dieu accorde la liberté aux personnes exploitées sexuellement partout dans le monde. Téléchargez le guide Partenaires de prière de janvier à avril 2023 pour vous inciter à prier à cet effet.
Donnez : AIDE aspire à recueillir 150 000 $ par l’appel Ensemble pour la liberté.Les sommes recueillies contribueront au travail essentiel de l’IJM et de BridgeNorth. La moitié des sommes recueillies servira au sauvetage et à la réhabilitation d’enfants captifs de l’exploitation sexuelle en ligne aux Philippines par l’IJM. L’autre moitié des dons recueillis soutiendra BridgeNorth pour la défense des femmes prisonnières de l’exploitation sexuelle et pour favoriser la réhabilitation de celles qui veulent y échapper pour commencer une nouvelle vie.
Agissez : communiquez avec l’équipe d’AIDE pour connaître comment vous pouvez participer, votre Église et vous, à la défense des personnes aux prises avec ces véritables problèmes dans votre collectivité et contribuer ainsi à la fin de la traite des personnes.
Vous joindrez-vous à nous aujourd’hui pour soutenir la fin de l’esclavage, pour que nous nous levions Ensemble pour la liberté?
Si vous avez besoin d’aide ou que vous connaissez une personne à risque ou qui a été l’objet de traite à l’esclavage, veuillez communiquer avec la Ligne d’urgence canadienne contre la traite des personnes :
1 833 900-1010
La Ligne d’urgence canadienne contre la traite des personnes est un service multilingue confidentiel ouvert 24 h/24 et 7 j/7 qui met en contact les victimes et survivants avec les services sociaux, services d’urgence et les organismes d’application de la loi, et qui accepte les renseignements soumis par le public.
Lorsqu’elle met en contact les victimes et les survivants de la traite des personnes avec des services sociaux d’urgence, de transition ou de soutien à long terme, et lorsqu’elle met en contact les appelants avec les organismes d’application de la loi, la Ligne d’urgence utilise une approche centrée sur la victime.
Trousse pour réseaux sociaux